Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
En cuissarde
En cuissarde
Publicité
Newsletter
Albums Photos
Derniers commentaires
Archives
25 septembre 2012

Contrainte - les bottes

Ma Maîtresse a emprisonné ma tête dans des cagoules de cuir et de latex verrouillées par un cadenas. je suis maintenant muet, ma vue est très limitée par les bas et les masques plaqués sur mon visage, et complètement à sa merci. Elle a bien d'autres idées de contrainte, qu'elle continue à m'appliquer.
Elle m'aide à passer une sorte de catsuit très léger, la même matière que des bas en fait, avec des pieds et des gants intégrés, mais qui s'arète à mon cou. La matière est très extensible, je peux rentre par l'ouvertaure du cou. Des ouvertures il en a deux autres : une petitte qui permet à ma Maitresse de faire sortir ma queue encagée, et une large derrière qui laisse mes fesses découvertes. Une fois la combinaison passée, elle me fait asseoir sur une chaise.
- Tends bien tes jambes devant toi !
La encore elle enduit mes jambes gainées dans le nylon d'une quantité généreuse de lubrifiant. Mmm, quelle merveille en latex a-t-elle prévu pour moi ? En latex ou autre chose ? Malgré mon champ de vision limité, je peux voir des cuissardes qu'elle amène sous mon nez pour que je les voit. Elle les lève pour me les montrer petit à petit sur toute lur longueur. Elles se terminent en pointe comme des ballerines de danseuse, avec des talons de 20 centimètres ! L'extérieur est en cuir apparemment et elles se ferment par des lacets.
- Ces merveilles que tu vois la sont entièrement doublées de latex , mais faites dans un cuir très solide même s'il est  très doux au toucher… tu vas pouvoir apprécier l'intérêt de cette combinaison de matières. Glisses ton pîed la-dedans, me dit-elle en même temps qu'elle place la première cuissarde à la bonne hauteur.
La forme de ces ballet boots provoque tout de suite une tension sur mon pied, et toute ma jambe, dont je sens les muscles s'étirer légèrement. L'intérieur de latex, très lisse, accueille mon pied lubrifié qui vient glisser facilement en place qu fond de la botte, bien que celle-ci m'apparaisse tout de suite très serrée. Ma Maitresse commence le laçage, lentement mais rigoureusement. La encore, le latex lubrifié aide beaucoup ces cuissardes à se plaquer parfaitement sur ma jambe, et provoque des sensations troublantes. Sans que ma Maitresse ait besoin de tirer trop fortement sur les lacets, le cocon de cuir vient ensserrer parfaitement mes jambes, chaque centimètre-caré de ma peau est soumis à une pression sérieuse, qui monte vers le haut de ma jambe. C'est d'abord mon mollet qui est encuiré, parfaitement moulé et galbé. En faisant jouer un peu ma cheville, je sens le latex glisser légèrement sur le bas de ma jambe tout en restant plaqué… mmm… sensation délicieuse sur ma jambe implacablement enfermée tout en ressentant un contact d'une très grande sensualité. La pression remonte avec le laçage au-dessus du genou maintenant. Elle serre le lacet de plus en plus haut, et fort aussi. Le cuir moule à l'extrème ma cuisse, bientôt jusqu'en haut. Elle noue le lacet, et une fine couroie de cuir vient recouvrir le noeud, fermant pour de bon la cuissarde. La tige de la botte monte si haut, qu'en bouclant la courroie, la main gantée de cuir de ma Maitresse vient effleurer mes couilles. Ma queue réagit instantanément, mais la cage d'acier qui la bloque stoppe douloureusement l'érection. Comme je me cabre et gémis à grand peine dans le cocon de cuir qui enserre ma tête, elle me caresse encore, sadique, en souriant.
Elle emprisonne ensuite mon autre jambe dans la deuxième cuissarde, serrant la encore le lacet autant que possible. Je sens le fourreau de cuir doublé de latex s'emparer de mon mollet, de ma cuisse. La deuxième cuissarde est lacée, bouclée. Je m'aperçois qu'elles sont si serrées qu'il m'est impossible de plier le genou, ne serait-ce qu'un peu. Mes jambes sont complètement emprisonnées, bloquées et terminées par un talon impossible. Je peux à peine bouger la cheville, très peu fléchir le genou maintenant que le cuir est chaud au contact de ma peau. Avec ses légers mouvements, je sens la doublure de latex glisser de quelques millimètres sur mes jambes gainées de nylon, comme un python qui me tient dans son étreinte.La sensation est fantastique, et je suis maintenant encore un peu plus contraint, pour le plaisir de ma Maitresse, incapable à présent de marcher, ni même de me lever seul.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité