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En cuissarde
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21 avril 2009

Éducation d'une soubrette - 2/5

2 > Une soubrette en latex

Dés que nous sommes dans l'appartement, Martia se tourne vers Malvina et lui explique que si je dois assumer le rôle de soubrette pour la soirée, alors il n'est pas question que je le fasse sans porter l'uniforme qui convient. Malvina est tout à fait d'accord, elle a toutes les raisons d'être heureuse des choix de Martia jusqu'à maintenant. Elle ajoute d'ailleurs qu'il ne faut pas hésiter à me faire porter une tenue stricte, qui me rappelle ce qu'est la discipline et à qui je dois obéir. Elles vont toutes les deux vers la chambre de Martia en m'ordonnant de les suivre. Martia ouvre une penderie remplie de vêtements aux matières toutes plus excitantes les unes que les autres. Comme elles me tournent le dos toutes les deux, je ne vois pas ce qu'elles sélectionnent pour moi, mais les petits rires de Malvina me donnent à penser que ma prochaine tenue va être difficile à porter, même comparée à ma tenue actuelle. Elles m'emmènent à la salle de bains et me font me déshabiller. Martia me reprend plusieurs fois pour m'obliger à plier mes vêtements correctement:

- Nous ne voulons pas d'une fille négligée. Tu as intérêt à te montrer plus soigneuse si tu veux éviter que je passe à une éducation plus dure.
Malvina me donne une boîte de talc et me conseille de m'en poudrer complètement, sans hésiter sur la quantité. J'obéis sans en voir pour l'instant l'utilité, et je commence à comprendre quand Martia me tend la première pièce de ma tenue et que je m'efforce de rentrer dedans. Il s'agit de collants très serrés en latex noir, qui collent à mes jambes et que je ne parviens à faire monter que centimètre par centimètre. Il est clair que sans le talc, ce serait peine perdue. Moulés jusqu'au dessus de la taille, ces collants me font en plus office de culotte. Bien que le contact du latex soit froid au départ, quand j'ai fini de me glisser dans cette gaine j'ai déjà beaucoup plus chaud. L'effort que j'ai dû faire commence à me faire transpirer et je dois m'essuyer et me talquer à nouveau. Viennent ensuite un soutien-gorge en latex garni de faux seins doux et souples, et de longs gants en latex montant jusque sous l'épaule. Là encore, c'est une bataille pour les enfiler. Martia me prévient que je dois de plus les lisser parfaitement, qu'elle n'admettra pas un pli sur ces gants comme sur les collants. Ils sont fins et peuvent coller intégralement à la peau. J'ai un moment de surprise quand Malvina, qui est debout derrière moi, glisse sur ma tête une cagoule en latex. Cet accessoire-là aussi est très ajusté, et pendant qu'elle la met en place les trous ne tombent bien sûr pas en face de ma bouche, mes yeux et mon nez. Pendant quelques secondes, je suis donc aveugle et privé de souffle. Enfin, j'ai droit à la dernière pièce de ma tenue qui est une robe de soubrette en latex elle aussi. Les manches sont courtes et bouffantes, et laissent apparaître mes gants, et elle descend jusqu'aux genoux, très moulante et muni d'un petit tablier blanc. Elle est faite d'un latex qui me paraît franchement épais, et la passer n'est franchement pas facile. Elle glisse bien évidemment assez mal sur les collants et je dois vraiment serrer mes jambes l'une contre l'autre et me contorsionner pour l'enfiler. Une fois mes bras passés dans les manches, Malvina remonte le zip qui la ferme dans mon dos. Elle doit pour cela bien tendre le latex sur mon buste, tant la robe est ajustée, et gagner petit à petit vers le haut. Elle finit par la boucler entièrement, jusqu'au col montant qui vient se refermer sur mon cou déjà pris dans la cagoule. Cette robe très moulante m'oblige à me tenir très droit, et c'est à vrai dire plus un instrument de servitude qu'un vêtement. Ma tenue est bien sûr complétée par une paire de chaussures à talons hauts. Il s'agit cette fois d'escarpins vernis noirs, à la semelle très fine et qui sont lacés sur le coup de pied. Martia en talque l'intérieur pour que mes pieds enveloppés de latex puissent s'y glisser et je les lace. Les talons sont très hauts mais la cambrure est si bien dessinée que je m'y sens finalement très à l'aise. C'est préférable car je sens que je vais les porter pendant un bon moment.
En faisant quelques pas dans la pièce me viennent tout un tas de sensations contradictoires. Les sons émis par mes vêtements dés que je bouge, qui montrent à quel point chaque partie de mon corps est moulée dans le latex, m'apportent une certaine gêne mais aussi une certaine excitation. Le fait de sentir à chaque mouvement cette matière moulante qui me retient et limite au plus court ma liberté, me rappelle à chaque geste que je suis maintenant un jouet pour les deux femmes. En même temps, je suis maintenu dans un cocon et la pression exercée par le latex sur mon corps est à la fois un lien et aussi une caresse permanente. Rien d'étonnant à ce que je sois en même temps intimidé et troublé par le port de cette tenue. Autant la tenue précédente que m'avaient imposée Martia et Malvina m'avait déroutée par sa féminité et son coté provocant, autant celle ci est excitante à porter et me met en état d'accepter toutes les soumissions.
       - Tu t'es maintenant assez occupé de toi, il ne faudrait pas que tu oublies        que tu es à notre service.
       Martia m'entraîne à nouveau vers la chambre et m'ordonne de me tenir près        d'elle devant l'armoire.
- Malvina, je pense que tu ne vois pas d'inconvénient à ce que je choisisse pour toi ta première tenue. Bien sûr, tu as ton mot à dire sur la question mais j'aimerais que tu me laisse choisir pour cette fois. Je crois que je vois bien ce qui correspond à ton style.
- Quand je vois de quelle manière tu t'es encore occupée de notre soubrette cette fois-ci, je ne vois pas pour quoi je ne me fierais pas à toi. Je suis certaine d'apprécier.
Je me tiens donc près de Martia qui pose sur mes bras les vêtements au fur et à mesure qu'elle les sélectionne dans la penderie et sur les étagères. Il n'y a pour l'instant aucune chaussure car elles sont rangées dans un autre placard, et finalement elle me demande de tout poser sur le lit. Je dois d'abord aider Malvina à se changer. Elle se déshabille rapidement, et bien qu'elle soit souriante, je sens qu'elle est un peu nerveuse. Rien d'étonnant car si la situation n'est pas déplaisante, elle est à la fois excitante et inhabituelle. Martia est de toute évidence une amoureuse du latex, car c'est encore dans cette matière qu'est moulé le body qu'elle a choisi pour Malvina. Après l'avoir talquée, je dois donc l'aider à enfiler cette gaine noire et brillante qui la serre au plus près. C'est d'autant plus difficile que les manches sont longues et les formes particulièrement ajustées. Le body se ferme par un zip dans le dos et se termine par un col montant. Je l'aide ensuite à se glisser dans une jupe longue, toujours de latex noir qui est zippée dans le dos. Elle descend jusqu'à ses chevilles et est d'une coupe très droite. A vrai dire, il est clair que si je ferme cette jupe jusqu'en bas, elle ne pourra plus marcher tant elle me semble moulante. Pour l'instant, à sa demande, je ferme le zip seulement jusqu'au haut de ses cuisses, de telle manière que le latex moulant souligne merveilleusement ses fesses et son ventre plat. Viennent ensuite des gants mi longs et un très long peignoir au manches amples dans la même matière, pour compléter cette tenue qui se veut tenue d'intérieur. Martia sort quelques instants pour chercher des chaussures adaptées pour Malvina, après lui avoir demandé sa pointure.
       - Je te trouve superbe comme ça ma chérie.
- Et moi je te trouve bien impertinent. Au lieu de profiter de l'absence de Martia pour m'adresser la parole sans égard, tu ferais mieux de te mettre à genou à mes pieds, en attendant de pouvoir me chausser. Et baisse la tête si tu ne veux pas que je regrette tout de suite d'être trop gentille. Encore un écart comme celui-là à la discipline, et nous devrons parler d'une punition apte à corriger ta mauvaise éducation.
Martia entre à ce moment sans donner l'air d'avoir entendu quoi que ce soit. Mais je pense qu'elle a suivi de loin la réflexion de Malvina et qu'elle a tout lieu d'en être satisfaite. Elle me tend les chaussures qu'elle a ramené et qui sont de vraies petites merveilles. Ce sont des bottes de latex rouge et brillant dont la tige monte jusqu'au genou et fermées par un zip. Elles ont des talons aiguille très hauts mais compensés par une semelle épaisse. Je chausse Malvina qui se lève ensuite pour faire quelques, tenant à me montrer ce qu'est la grâce féminine. Elle ferme son peignoir de latex et le serre à la taille avec la ceinture. Quand elle bouge, le doux bruissement du latex l'accompagne.
- Reste à genou tant que je ne te demande pas de te lever, mais rien ne t'empêche de me regarder... et encore moins de m'admirer.
Elle me regarde, tourne lentement sur elle-même et se rapproche doucement de moi. Elle finit par être si près de moi que son ventre moulé dans le latex vient au contact de mon visage cagoule. Sensuelle, elle met ses deux mains derrière ma tête et vient plaquer mon visage contre elle, en me caressant la nuque. Elle sait bien que ce geste tendre que j'adore d'habitude est différent à présent. La tête enfouie dans les plis de son peignoir en latex, j'ai du mal à respirer, mais ce doux étouffement ajouté à la pression de ses mains commencent à m'exciter et j'entreprends de caresser ses jambes. Dés que je la touche, elle réagit en giflant mes mains.
       - Qui t'as donné l'autorisation? Maintenant lèves-toi.
Je dois maintenant aider Martia à passer la tenue qu'elle s'est choisie elle-même, faite aussi entièrement de latex. Je la talque entièrement et lui passe un body de latex noir qui ressemble beaucoup à celui de Malvina. Très moulant, il monte aussi jusque sous le menton mais n'a que des manches courtes. De plus, il a trois petites ouvertures de plus qui laissent libres la pointe de ses seins et son sexe. Martia tient à garder toute sa liberté, et me montre qu'on peut adorer porter des vêtements en latex en toute circonstances sans pour autant s'interdire toute improvisation érotique... ou finalement comment être plus que nue. Je lui enfile ensuite de superbes gants en latex noir qui montent très haut sur ses bras, allant rejoindre les manches courtes de son body. Ils sont très serrés sur sa peau et il me faut pas mal d'effort pour les enfiler complètement et surtout les lisser au mieux pour ne laisser aucun pli. Inutile de dire que Martia n'aimerait pas du tout que je bâcle ce travail. Je dois ensuite lui mettre un corset noir, très serré et qui se lace devant. Pendant que je suis debout devant elle, à serrer progressivement et soigneusement les lacets, elle me taquine en se moquant doucement de moi:
       - Alors bonniche, ça te plaît de serrer des liens ?
Comme je ne réponds pas (et je sais que je n'ai pas intérêt à le faire), elle insiste en caressant mes hanches, et laisse intentionnellement ses gants frôler mon sexe moulé dans le latex.
- Ca te va tellement bien d'être aussi bien moulé dans le latex, mais j'ai l'impression que ça te plairait aussi de m'y attacher. Elle entend bien à ma respiration qu'y s'accélère qu'elle commence à faire mouche et pousse encore un peu plus loin, tout en continuant à me caresser, passant du plat de ses main gantées au bout des doigts. Ses mains glissent en bruissant sur ma tenue de latex, et font davantage de bruit quand elle s'attarde et insiste sur un endroit précis.
- Tu aimerais me voir dans un long fourreau en latex, jambes et bras attachés, et supplier pour qu'on me libère ? Tu m'imagine liée sur le sol et bâillonnée, dans une combinaison de latex. Je m'épuiserai à chercher vainement à me libérer en me contorsionnant. Mes mouvements inutiles dans ma prison de caoutchouc n'auraient pour résultat que de m'exciter tout en pompant mes dernières énergies.
       Pendant que je continue à lacer son corset elle insiste encore:
- Tu aimerais me faire ça et me voir réduite à ta merci ? Eh bien ce n'est pas à l'ordre du jour ! Pour l'instant, salope, tu vas te mettre à genou et enfiler mes bas. Je vois que tu commence à comprendre qui commande ici, mais veilles à ne pas te relâcher. Je sais que je n'ai rien d'autre à faire qu'obéir, même si les choses qu'elle a évoqué pour moi m'ont excité, et c'est le plus soigneusement possible que je passe et lisse les bas de latex noir sur ses jambes. Ils montent en haut de ses cuisses et s'attachent à son corset. Nous sommes maintenant trois dans cette petite pièce à être entièrement vêtus de latex, et nos mouvements et notre chaleur ont libéré dans l'air les arômes caractéristiques, que reconnaissent si vite ceux qui ont déjà porté souvent des tenues dans cette matière, et que déjà je commence à associer à des situations particulièrement excitantes. Martia me demande de poser sur ses épaules sa cape de latex. Très longue, elle est ornée d'un galon rouge qui contraste avec sa couleur noire et a un col très large. Elle se ferme au cou par deux lanière et des boucles et une fois sur ses épaules prend un très beau plissé. Elle s'assoie ensuite sur le bord du lit et m'ordonne de lui chausser ses bottes, de magnifiques cuissardes en latex rouge avec des talons aiguille impressionnants et une semelle très fine. Je commence par talquer ses pieds pour les faire entrer dans ces superbes écrins, et ça me demande pas mal d'efforts, le latex des bas glissant mal sur celui des bottes. Puis je remonte les zips sur les deux jambes, jusqu'à parvenir finalement à enfermer ses deux jambes dans leur bel étui. - Pas mal, mais tu dois encore me les ajuster un peu mieux et les faire briller.
Elle me tend pour cela un produit en spray et un chiffon de coton. Après avoir manipulé le latex des bottes de façon à éliminer tous les plis qui pouvaient rester, je commence à me sentir vraiment au chaud dans ma robe et plutôt en sueur. Je vois que Martia, après ce massage énergique, commence à avoir chaud elle aussi et est maintenant assez excitée. Je commence à frotter doucement le bas de ses cuissardes avec le chiffon. Avec le produit lustrant, il glisse doucement et donne un brillant superbe au latex, renforçant sa couleur et rendant le contact encore plus doux. Petit à petit, à genou devant elle, je remonte le long de ses jambes bottées dans mon travail attentif. Quand j'arrive vers le haut de ses cuisses, je suis penché sur elle, un de ses genoux contre ma poitrine. Alors que je continue doucement à lustrer la tige de sa cuissarde, je la sens qui s'amuse à me caresser avec la pointe de sa botte. Elle rit de voir ma respiration s'accélérer.
- Continue ton travail et fait tout ça correctement. Tu dois apprendre à ne pas te laisser troubler par une petite distraction. D'ailleurs, une fois que tu en auras terminé avec mes cuissardes, n'oublie pas mes gants et ma cape, et je crois que Malvina souhaite aussi que tu t'occupe d'elle.
Ainsi je continue, en termine avec Martia et m'occupe de faire briller la tenue de Malvina. Je lustre d'abord ses bottes, ce qui me permet d'admirer encore une fois ses jambes que je connais bien mais que je n'ai pas si souvent l'occasion de voir aussi bien mises en valeur. Je lui enlève sa jupe juste le temps nécessaire pour m'occuper de son body, puis lui remet et la fait briller. Inutile de dire qu'elle apprécie toutes ces caresses et qu'elle adore aussi l'aspect brillant que prend sa tenue de latex. Tous ces vêtements sont encore plus excitants comme ça et mettent encore mieux en relief les formes sur lesquelles ils sont moulés.
       Martia me met la main sous le menton et me dit:
- Jusqu'à maintenant tu t'es comporté comme une bonne fille. Comme j'aimerais que ta tenue ne soit pas moins soignée que la notre, nous allons nous occuper de toi mais ne va pas croire que ceci inverse les rôles.
Martia prend le chiffon et fait briller mes gants puis le dos de ma robe. Contrastant avec son ton autoritaire, ses mains sont plutôt douces et délicates dans leurs gestes, toujours très sensuelles. Elle adore simplement caresser un corps moulé dans le latex. Elle passe ensuite derrière moi, tend le chiffon à Malvina et lui demande de finir le travail. Elle frotte mes collants jusqu'à obtenir un très beau brillant, puis s'occupe du devant de ma robe. Martia est dans mon dos et sans que j'ai eu le temps de réagir attrape mes bras et les maintient solidement. Comme je suis coincé, un seul bras lui suffit pour cela et de l'autre main, elle me bâillonne et maintient ma tête contre son épaule. A ce moment je prend d'ailleurs conscience de sa grande taille, accentuée évidemment par la hauteur de ses talons. Malvina sourit et continue à lustrer ma robe, s'amusant de me voir complètement coincé et réagissant sous ses caresses.
       - Bien, dit alors Martia, tu es maintenant prête à faire le service.

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