Éducation d'une soubrette - 2/5
2 > Une soubrette en latex
Dés que nous sommes dans l'appartement, Martia se tourne vers Malvina et lui explique que si je dois assumer le rôle de soubrette pour la soirée, alors il n'est pas question que je le fasse sans porter l'uniforme qui convient. Malvina est tout à fait d'accord, elle a toutes les raisons d'être heureuse des choix de Martia jusqu'à maintenant. Elle ajoute d'ailleurs qu'il ne faut pas hésiter à me faire porter une tenue stricte, qui me rappelle ce qu'est la discipline et à qui je dois obéir. Elles vont toutes les deux vers la chambre de Martia en m'ordonnant de les suivre. Martia ouvre une penderie remplie de vêtements aux matières toutes plus excitantes les unes que les autres. Comme elles me tournent le dos toutes les deux, je ne vois pas ce qu'elles sélectionnent pour moi, mais les petits rires de Malvina me donnent à penser que ma prochaine tenue va être difficile à porter, même comparée à ma tenue actuelle. Elles m'emmènent à la salle de bains et me font me déshabiller. Martia me reprend plusieurs fois pour m'obliger à plier mes vêtements correctement:
- Nous ne voulons
pas d'une fille négligée. Tu as intérêt à te montrer plus soigneuse si
tu veux éviter que je passe à une éducation plus dure.
Malvina me
donne une boîte de talc et me conseille de m'en poudrer complètement,
sans hésiter sur la quantité. J'obéis sans en voir pour l'instant
l'utilité, et je commence à comprendre quand Martia me tend la première
pièce de ma tenue et que je m'efforce de rentrer dedans. Il s'agit de
collants très serrés en latex noir, qui collent à mes jambes et que je
ne parviens à faire monter que centimètre par centimètre. Il est clair
que sans le talc, ce serait peine perdue. Moulés jusqu'au dessus de la
taille, ces collants me font en plus office de culotte. Bien que le
contact du latex soit froid au départ, quand j'ai fini de me glisser
dans cette gaine j'ai déjà beaucoup plus chaud. L'effort que j'ai dû
faire commence à me faire transpirer et je dois m'essuyer et me talquer
à nouveau. Viennent ensuite un soutien-gorge en latex garni de faux
seins doux et souples, et de longs gants en latex montant jusque sous
l'épaule. Là encore, c'est une bataille pour les enfiler. Martia me
prévient que je dois de plus les lisser parfaitement, qu'elle
n'admettra pas un pli sur ces gants comme sur les collants. Ils sont
fins et peuvent coller intégralement à la peau. J'ai un moment de
surprise quand Malvina, qui est debout derrière moi, glisse sur ma tête
une cagoule en latex. Cet accessoire-là aussi est très ajusté, et
pendant qu'elle la met en place les trous ne tombent bien sûr pas en
face de ma bouche, mes yeux et mon nez. Pendant quelques secondes, je
suis donc aveugle et privé de souffle. Enfin, j'ai droit à la dernière
pièce de ma tenue qui est une robe de soubrette en latex elle aussi.
Les manches sont courtes et bouffantes, et laissent apparaître mes
gants, et elle descend jusqu'aux genoux, très moulante et muni d'un
petit tablier blanc. Elle est faite d'un latex qui me paraît
franchement épais, et la passer n'est franchement pas facile. Elle
glisse bien évidemment assez mal sur les collants et je dois vraiment
serrer mes jambes l'une contre l'autre et me contorsionner pour
l'enfiler. Une fois mes bras passés dans les manches, Malvina remonte
le zip qui la ferme dans mon dos. Elle doit pour cela bien tendre le
latex sur mon buste, tant la robe est ajustée, et gagner petit à petit
vers le haut. Elle finit par la boucler entièrement, jusqu'au col
montant qui vient se refermer sur mon cou déjà pris dans la cagoule.
Cette robe très moulante m'oblige à me tenir très droit, et c'est à
vrai dire plus un instrument de servitude qu'un vêtement. Ma tenue est
bien sûr complétée par une paire de chaussures à talons hauts. Il
s'agit cette fois d'escarpins vernis noirs, à la semelle très fine et
qui sont lacés sur le coup de pied. Martia en talque l'intérieur pour
que mes pieds enveloppés de latex puissent s'y glisser et je les lace.
Les talons sont très hauts mais la cambrure est si bien dessinée que je
m'y sens finalement très à l'aise. C'est préférable car je sens que je
vais les porter pendant un bon moment.
En faisant quelques pas
dans la pièce me viennent tout un tas de sensations contradictoires.
Les sons émis par mes vêtements dés que je bouge, qui montrent à quel
point chaque partie de mon corps est moulée dans le latex, m'apportent
une certaine gêne mais aussi une certaine excitation. Le fait de sentir
à chaque mouvement cette matière moulante qui me retient et limite au
plus court ma liberté, me rappelle à chaque geste que je suis
maintenant un jouet pour les deux femmes. En même temps, je suis
maintenu dans un cocon et la pression exercée par le latex sur mon
corps est à la fois un lien et aussi une caresse permanente. Rien
d'étonnant à ce que je sois en même temps intimidé et troublé par le
port de cette tenue. Autant la tenue précédente que m'avaient imposée
Martia et Malvina m'avait déroutée par sa féminité et son coté
provocant, autant celle ci est excitante à porter et me met en état
d'accepter toutes les soumissions.
- Tu t'es maintenant assez occupé de toi, il ne faudrait pas que tu oublies que tu es à notre service.
Martia m'entraîne à nouveau vers la chambre et m'ordonne de me tenir près d'elle devant l'armoire.
- Malvina, je pense que tu ne vois pas d'inconvénient à ce que je
choisisse pour toi ta première tenue. Bien sûr, tu as ton mot à dire
sur la question mais j'aimerais que tu me laisse choisir pour cette
fois. Je crois que je vois bien ce qui correspond à ton style.
-
Quand je vois de quelle manière tu t'es encore occupée de notre
soubrette cette fois-ci, je ne vois pas pour quoi je ne me fierais pas
à toi. Je suis certaine d'apprécier.
Je me tiens donc près de
Martia qui pose sur mes bras les vêtements au fur et à mesure qu'elle
les sélectionne dans la penderie et sur les étagères. Il n'y a pour
l'instant aucune chaussure car elles sont rangées dans un autre
placard, et finalement elle me demande de tout poser sur le lit. Je
dois d'abord aider Malvina à se changer. Elle se déshabille rapidement,
et bien qu'elle soit souriante, je sens qu'elle est un peu nerveuse.
Rien d'étonnant car si la situation n'est pas déplaisante, elle est à
la fois excitante et inhabituelle. Martia est de toute évidence une
amoureuse du latex, car c'est encore dans cette matière qu'est moulé le
body qu'elle a choisi pour Malvina. Après l'avoir talquée, je dois donc
l'aider à enfiler cette gaine noire et brillante qui la serre au plus
près. C'est d'autant plus difficile que les manches sont longues et les
formes particulièrement ajustées. Le body se ferme par un zip dans le
dos et se termine par un col montant. Je l'aide ensuite à se glisser
dans une jupe longue, toujours de latex noir qui est zippée dans le
dos. Elle descend jusqu'à ses chevilles et est d'une coupe très droite.
A vrai dire, il est clair que si je ferme cette jupe jusqu'en bas, elle
ne pourra plus marcher tant elle me semble moulante. Pour l'instant, à
sa demande, je ferme le zip seulement jusqu'au haut de ses cuisses, de
telle manière que le latex moulant souligne merveilleusement ses fesses
et son ventre plat. Viennent ensuite des gants mi longs et un très long
peignoir au manches amples dans la même matière, pour compléter cette
tenue qui se veut tenue d'intérieur. Martia sort quelques instants pour
chercher des chaussures adaptées pour Malvina, après lui avoir demandé
sa pointure.
- Je te trouve superbe comme ça ma chérie.
- Et moi je te trouve bien impertinent. Au lieu de profiter de
l'absence de Martia pour m'adresser la parole sans égard, tu ferais
mieux de te mettre à genou à mes pieds, en attendant de pouvoir me
chausser. Et baisse la tête si tu ne veux pas que je regrette tout de
suite d'être trop gentille. Encore un écart comme celui-là à la
discipline, et nous devrons parler d'une punition apte à corriger ta
mauvaise éducation.
Martia entre à ce moment sans donner l'air
d'avoir entendu quoi que ce soit. Mais je pense qu'elle a suivi de loin
la réflexion de Malvina et qu'elle a tout lieu d'en être satisfaite.
Elle me tend les chaussures qu'elle a ramené et qui sont de vraies
petites merveilles. Ce sont des bottes de latex rouge et brillant dont
la tige monte jusqu'au genou et fermées par un zip. Elles ont des
talons aiguille très hauts mais compensés par une semelle épaisse. Je
chausse Malvina qui se lève ensuite pour faire quelques, tenant à me
montrer ce qu'est la grâce féminine. Elle ferme son peignoir de latex
et le serre à la taille avec la ceinture. Quand elle bouge, le doux
bruissement du latex l'accompagne.
- Reste à genou tant que je ne
te demande pas de te lever, mais rien ne t'empêche de me regarder... et
encore moins de m'admirer.
Elle me regarde, tourne lentement sur
elle-même et se rapproche doucement de moi. Elle finit par être si près
de moi que son ventre moulé dans le latex vient au contact de mon
visage cagoule. Sensuelle, elle met ses deux mains derrière ma tête et
vient plaquer mon visage contre elle, en me caressant la nuque. Elle
sait bien que ce geste tendre que j'adore d'habitude est différent à
présent. La tête enfouie dans les plis de son peignoir en latex, j'ai
du mal à respirer, mais ce doux étouffement ajouté à la pression de ses
mains commencent à m'exciter et j'entreprends de caresser ses jambes.
Dés que je la touche, elle réagit en giflant mes mains.
- Qui t'as donné l'autorisation? Maintenant lèves-toi.
Je dois maintenant aider Martia à passer la tenue qu'elle s'est choisie
elle-même, faite aussi entièrement de latex. Je la talque entièrement
et lui passe un body de latex noir qui ressemble beaucoup à celui de
Malvina. Très moulant, il monte aussi jusque sous le menton mais n'a
que des manches courtes. De plus, il a trois petites ouvertures de plus
qui laissent libres la pointe de ses seins et son sexe. Martia tient à
garder toute sa liberté, et me montre qu'on peut adorer porter des
vêtements en latex en toute circonstances sans pour autant s'interdire
toute improvisation érotique... ou finalement comment être plus que
nue. Je lui enfile ensuite de superbes gants en latex noir qui montent
très haut sur ses bras, allant rejoindre les manches courtes de son
body. Ils sont très serrés sur sa peau et il me faut pas mal d'effort
pour les enfiler complètement et surtout les lisser au mieux pour ne
laisser aucun pli. Inutile de dire que Martia n'aimerait pas du tout
que je bâcle ce travail. Je dois ensuite lui mettre un corset noir,
très serré et qui se lace devant. Pendant que je suis debout devant
elle, à serrer progressivement et soigneusement les lacets, elle me
taquine en se moquant doucement de moi:
- Alors bonniche, ça te plaît de serrer des liens ?
Comme je ne réponds pas (et je sais que je n'ai pas intérêt à le
faire), elle insiste en caressant mes hanches, et laisse
intentionnellement ses gants frôler mon sexe moulé dans le latex.
- Ca te va tellement bien d'être aussi bien moulé dans le latex, mais
j'ai l'impression que ça te plairait aussi de m'y attacher. Elle entend
bien à ma respiration qu'y s'accélère qu'elle commence à faire mouche
et pousse encore un peu plus loin, tout en continuant à me caresser,
passant du plat de ses main gantées au bout des doigts. Ses mains
glissent en bruissant sur ma tenue de latex, et font davantage de bruit
quand elle s'attarde et insiste sur un endroit précis.
- Tu
aimerais me voir dans un long fourreau en latex, jambes et bras
attachés, et supplier pour qu'on me libère ? Tu m'imagine liée sur le
sol et bâillonnée, dans une combinaison de latex. Je m'épuiserai à
chercher vainement à me libérer en me contorsionnant. Mes mouvements
inutiles dans ma prison de caoutchouc n'auraient pour résultat que de
m'exciter tout en pompant mes dernières énergies.
Pendant que je continue à lacer son corset elle insiste encore:
- Tu aimerais me faire ça et me voir réduite à ta merci ? Eh bien ce
n'est pas à l'ordre du jour ! Pour l'instant, salope, tu vas te mettre
à genou et enfiler mes bas. Je vois que tu commence à comprendre qui
commande ici, mais veilles à ne pas te relâcher. Je sais que je n'ai
rien d'autre à faire qu'obéir, même si les choses qu'elle a évoqué pour
moi m'ont excité, et c'est le plus soigneusement possible que je passe
et lisse les bas de latex noir sur ses jambes. Ils montent en haut de
ses cuisses et s'attachent à son corset. Nous sommes maintenant trois
dans cette petite pièce à être entièrement vêtus de latex, et nos
mouvements et notre chaleur ont libéré dans l'air les arômes
caractéristiques, que reconnaissent si vite ceux qui ont déjà porté
souvent des tenues dans cette matière, et que déjà je commence à
associer à des situations particulièrement excitantes. Martia me
demande de poser sur ses épaules sa cape de latex. Très longue, elle
est ornée d'un galon rouge qui contraste avec sa couleur noire et a un
col très large. Elle se ferme au cou par deux lanière et des boucles et
une fois sur ses épaules prend un très beau plissé. Elle s'assoie
ensuite sur le bord du lit et m'ordonne de lui chausser ses bottes, de
magnifiques cuissardes en latex rouge avec des talons aiguille
impressionnants et une semelle très fine. Je commence par talquer ses
pieds pour les faire entrer dans ces superbes écrins, et ça me demande
pas mal d'efforts, le latex des bas glissant mal sur celui des bottes.
Puis je remonte les zips sur les deux jambes, jusqu'à parvenir
finalement à enfermer ses deux jambes dans leur bel étui. - Pas mal,
mais tu dois encore me les ajuster un peu mieux et les faire briller.
Elle me tend pour cela un produit en spray et un chiffon de coton.
Après avoir manipulé le latex des bottes de façon à éliminer tous les
plis qui pouvaient rester, je commence à me sentir vraiment au chaud
dans ma robe et plutôt en sueur. Je vois que Martia, après ce massage
énergique, commence à avoir chaud elle aussi et est maintenant assez
excitée. Je commence à frotter doucement le bas de ses cuissardes avec
le chiffon. Avec le produit lustrant, il glisse doucement et donne un
brillant superbe au latex, renforçant sa couleur et rendant le contact
encore plus doux. Petit à petit, à genou devant elle, je remonte le
long de ses jambes bottées dans mon travail attentif. Quand j'arrive
vers le haut de ses cuisses, je suis penché sur elle, un de ses genoux
contre ma poitrine. Alors que je continue doucement à lustrer la tige
de sa cuissarde, je la sens qui s'amuse à me caresser avec la pointe de
sa botte. Elle rit de voir ma respiration s'accélérer.
- Continue
ton travail et fait tout ça correctement. Tu dois apprendre à ne pas te
laisser troubler par une petite distraction. D'ailleurs, une fois que
tu en auras terminé avec mes cuissardes, n'oublie pas mes gants et ma
cape, et je crois que Malvina souhaite aussi que tu t'occupe d'elle.
Ainsi je continue, en termine avec Martia et m'occupe de faire briller
la tenue de Malvina. Je lustre d'abord ses bottes, ce qui me permet
d'admirer encore une fois ses jambes que je connais bien mais que je
n'ai pas si souvent l'occasion de voir aussi bien mises en valeur. Je
lui enlève sa jupe juste le temps nécessaire pour m'occuper de son
body, puis lui remet et la fait briller. Inutile de dire qu'elle
apprécie toutes ces caresses et qu'elle adore aussi l'aspect brillant
que prend sa tenue de latex. Tous ces vêtements sont encore plus
excitants comme ça et mettent encore mieux en relief les formes sur
lesquelles ils sont moulés.
Martia me met la main sous le menton et me dit:
- Jusqu'à maintenant tu t'es comporté comme une bonne fille. Comme
j'aimerais que ta tenue ne soit pas moins soignée que la notre, nous
allons nous occuper de toi mais ne va pas croire que ceci inverse les
rôles.
Martia prend le chiffon et fait briller mes gants puis le
dos de ma robe. Contrastant avec son ton autoritaire, ses mains sont
plutôt douces et délicates dans leurs gestes, toujours très sensuelles.
Elle adore simplement caresser un corps moulé dans le latex. Elle passe
ensuite derrière moi, tend le chiffon à Malvina et lui demande de finir
le travail. Elle frotte mes collants jusqu'à obtenir un très beau
brillant, puis s'occupe du devant de ma robe. Martia est dans mon dos
et sans que j'ai eu le temps de réagir attrape mes bras et les
maintient solidement. Comme je suis coincé, un seul bras lui suffit
pour cela et de l'autre main, elle me bâillonne et maintient ma tête
contre son épaule. A ce moment je prend d'ailleurs conscience de sa
grande taille, accentuée évidemment par la hauteur de ses talons.
Malvina sourit et continue à lustrer ma robe, s'amusant de me voir
complètement coincé et réagissant sous ses caresses.
- Bien, dit alors Martia, tu es maintenant prête à faire le service.