Poupée de cuir et de latex - 2

La première chose que ma Maitresse a marqué sur la liste, c'est le ménage de l'appartement. Avant de passer l'aspirateur, je commence à faire la poussière sur les étagères, plumeau en main. Si les talons des cuissardes me rendent plutôt service, en me mettant bien au niveau des étagères les plus hautes, cette jupe si serrée me gêne beaucoup pour marcher. Je fais de tout petits pas, je sens la pression constante du cuir sur mes cuisses, mes fesses.

Sur ma queue aussi, emprisonnée dans son étui de latex, qui m'empêche d'ailleurs de bander car il est assez serré. Quand même, au bout d'un moment à marcher à petit pas dans ce très beau cocon de cuir, à sentir à chaque pas ma queue rouler dans son étui de cuir et de latex, je commence à être assez excité. Je sais bien que je ne dois pas le faire, mais je commence à me caresser à travers la jupe. Mon cœur bat plus fort, je sens le sang pulser sous mes doigts. Ma main ganté de latex bruisse contre le cuir brillant.

A ce moment-la je sens comme un choc électrique très fort et douloureux venant du plug, qui me fait vaciller sur mes talons et débander tout de suite. Je me fige, et le téléphone sonne. Je décroche.

- Je t'ai vu petite salope, tu sais que la webcam est branchée en permanence. Le plug que tu as dans le cul est commandé par mon portable, alors si tu essaies encore de te faire plaisir, ou simplement de faire autre chose que suivre mes ordres, tu vas dérouiller ! Ce petit avertissement, c'est de la rigolade à côté de ce qui t'attend si je me mets en colère. Et tu fais tout ce qu'il faut pour ça, sale chienne !

Elle raccroche et la je sais que je n'ai plus droit à l'erreur. Je continue les poussières sans trainer, regardant nerveusement de temps en temps vers la caméra qui est au coin de la pièce. Il y en a dans chaque pièce de toute manière et je me sais bien surveillé. Au bout de deux heures de ménage, je commence à sentir une furieuse envie de pisser, cette jupe encore y est pour quelque chose, lacée tellement serrée qu'elle comprime drôlement ma vessie. Mes talons claquent sur le carrelage pendant que je marche aussi vite que je peux vers les toilettes. En ouvrant la porte je me demande comment je vais arriver à pisser, moulé comme je suis dans le cuir et le latex. Mon bas-ventre me fait mal, je tremble sur mes jambes, je m'assoie d'abord sur le siège, et j'arrive à sortir de sous la jupe le tube qui sort de mon étui pénien. Mais la jupe est trop longue et masque l'ouverture des toilettes. Je me relève et me tourne face au siège, il y a un petit bouchon au bout du tube que j'enlève, et en tirant un peu j'arrive à amener le bout du tube jusqu'au bord de la cuvette.

Je peux enfin me soulager mais c'est presque douloureux, ma queue sous pression laisse couler le filet d'urine, mais le tube bien petit en laisse couleur peu. En même temps je ressens une douleur sourde dans le ventre, et un grand plaisir à sentir au niveau de mon sexe la chaleur et la pression. J'ai du mal à tenir debout sur mes talons dans cette jupe, et à me concentrer pour tout mettre la où il faut… Une fois que j'ai fini, au bout de longues minutes douloureuses et jouissives, je rebouche le tube. Difficilement, j'arrive à le replier comme il était pour qu'il soit à nouveau caché sous la jupe.

Comments

[Amok]

Merci pour ces commentaires, je vais peut-être bientôt écrire la suite ? Cette idée m'inspire toujours :-)

[Bidouille]

Exactement tout a fait d'accord avec Titou j'adore a quand la suite?
Merci a l'avance

[Amok]

Merci ! Content que ça te plaise :-) Histoire à suivre, selon mon inspiration.

[titou]

Très excitant, cette séance