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En cuissarde
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27 mars 2012

Lutte sans espoir

Je me réveille doucement, je suis dans le noir, complètement dans le vague. J'ai été drogué sûrement, j'ai chaud et on dirait que je n'ai pas encore retrouvé l'usage de mes membres. Mieux réveillé maintenant je m'aperçois que je dois être attaché, les bras le long du corps, j'arrive à bouger un peu mais pas au point de pouvoir remonter mes mains. Une parfum étrange, suave et musqué, fort, remplit mes poumons à chaque bouffée d'air. Ma respiration est un peu génée. Au fur et à mesure que je reprends conscience, je suis pris d'angoisse, car je ne comprends pas où je suis. Je m'agite en pure perte, et à ce moment-la une voix féminine s'adresse à moi. Le son ne vient pas naturellement, mais un peu grésillant par des écouteurs qui doivent être fixés au niveau de mes oreilles.

"Ah tu te réveilles ? Bien, nous allons pouvoir jouer tous les deux ! Tu es plutôt dans une facheuse posture, non ? Voila ce qui peut arriver quand on traine la nuit dans des clubs fréquentés par des gens étranges… Bon, tu te demandes surement où tu es, dans quelle situation tu t'es fourré, tu vas en savoir un peu plus."

sep_rubber_latex_fetish_sleepsack

 D'un seul coup un éclair blanc devant mes yeux, puis une lueur qui se précise. En fait, ce sont de minuscules écrans TV qui s'allument devant mes yeux. Je vois une scène qui se précise, une forme allongée sur un lit, apparemment un lit d'hôpital. Cette forme c'est apparemment un corps enfermé dans un sac d'une matière noire et brillante, une étrange momie. Le matelas est couvert d'une housse de la même matière, la caméra doit être en hauteur, je vois un peu de la pièce environnante, tout est blanc, sol plastique et carrelage. L'image est très nette, précise, la scène est immobile. Pourquoi me montrer cette image ? Je ne peux qu'attendre la suite. Je suis ankilosé, j'essaie de changer de position, et je vois sous mes yeux la momie noire et brillante qui bouge en même temps… voila donc comment je suis immobilisé. Comme pour vérifier, je m'agite un peu… pas de doute, c'est bien moi ! Je vois une silhouette s'avancer vers moi, de dos d'abord, puis elle se tourne vers la caméra, et me fait signe :

"Coucou ma petite poupée, alors, comment trouves-tu ton joli costume, sexy non ? Ce sac, les draps sont en latex, tu ne connais pas encore mais tu vas apprendre à l'aimer, comme ma tenue, regardes, je ne suis pas adorable ?"

Elle porte une tenue toute de latex effectivement, sa jupe, son chemisier, ses bas même brillent de la même façon, moulant ses belles formes. Elle porte également des bottes à talons hauts sur lesquelles elle est très à l'aise, jusqu'à ses gants et une cagoule transparente qui luisent de la même manière. Malgré la cagoule, je reconnais mainenant son visage : c'est la femme à laquelle j'ai tenté plusieurs fois de payer un verre, sans succès, dans ce club. Bon, elle a fini par s'intéresser à moi, mais je suis bien avancé !

"Alors tu es content, c'est bien de ça que tu avais envie avoues-le, qu'on se retrouvent tous les deux seuls pour nous amuser ? Tu as de la chance ce soir ! Oh, mais peut-ête voyais-tu ça un peu différemment, tu te voyais un peu plus libre, non ? Réponds-moi !"

Ce n'est pas faute d'essayer, mais je m'aperçois que je suis baillonné, et je n'arrive à sortir qu'une sorte de "oonnn" ou de "iiinnn"

"Ce n'est pas clair, essaies de bouger la tête, alors, tu t'imaginais emrprisonné dans tout ce latex ?"

Je fais non de la tête.

"Tu as envie de sortir de la ?"

Oui cette fois-ci. Elle se rapproche de moi, je sens en même temps que je la vois à la caméra sa main qui se pose sur l'avant du sac, ses doigts suivent la fermeture à glissière sur le devant.

"Oh ce serait dommage vraiment, mais bon, je te propose un premier jeu : à l'intérieur de ce sac, il y  la tirette du zip qui le ferme. Si tu arrives à l'attraper et à ouvrir le sac, je finis de te libérer, alors, ça te convient ? Tu essayes ? Le zip est au niveau de ton cou."

sep_rubber_latex_fetish_sleepsack

J'essaie de remonter une de mes mains ou les deux. D'abord en douceur, mais le sac m'emprisonne de manière assez serrée, je me contorsionne d'abord involontairement, puis plus fort en essayant de dégager mes bras. Je souffle difficilement à travers ma cagoule de latex, j'entends le bruit que fait mon coprs emprisonné qui s'agite sur la couche en latex. Le sac et le drap frottent l'un contre l'autre, le latex colle et entrave encore mes tentatives pour me libérer. Je commence à avoir chaud et à transpirer la-dedans. Sous l'effort je gémis à travers le baillon. En même temps que je me débats dans mon cocon, je vois la scène de l'extérieur, par la caméra. C'est plutôt troublant et ça a tendance à me déconcentrer dans mes efforts. Je ne vois que trop bien mon impuissance à me débattre, et je vois aussi qu'elle me regarde d'un air amusé en me caressant.

"Oh qu'il est chou mon petit jouet, il en fait des efforts, mais ça ne donne pas grand chose !"

Je transpire abondamment maintenant, la sueur lubrifie le latex de l'intérieur, j'arrive à remonter un peu une de mes mains, je redouble alors d'efforts, je me tend et me contorsionne avec plus de force. A ce moment-la, elle prend une ceinture qu'elle passe autour de mon torse, au niveau de mes coudes, qu'elle boucle pour m'emprisonner davantage. J'avais un peu l'espoir d'y arriver mais la…

"Oh tu es déçu ? Tu trouves que je triche ? Allez, fais encore un effort, elle n'est pas très serrée cette courroie, allez vas-y !"

J'essaie d'écarter les bras, je me dandine dans ce fourreau terrible, je gagne encore quelques centimètres vers le haut. Une deuxième courroie vient serrer mon torse, un peu plus haut, puis encore une à mes cuisses, une quatrième à mes genoux !

"Ah, ça se complique un peu non ? Mais tu ne fais pas beaucoup d'effort aussi, petit fainéant ! Allez bouges, montres un peu ce que tu as dans le ventre !"

Pour me stimuler, elle me gifle, et même si la gifle est amortie par le masque épais que je porte, ce coup et les courroies qu'elle vient d'ajouter me mettent en colère. Je me déchaine autant que je peux, m'agitant en tout sens. J'ai l'impression de sauter comme un diable, mais la caméra me montrent que mes mouvements sont plutôt desespérés, ma révolte ne va pas bien loin. J'y mets toute mon énergie, malgré tout, soufflant, protestant à travers le baillon.

"Oh le fauve se réveille !"

Elle commence tranquillement à resserrer les courroies une à une. A chaque cran mes mouvenments sont plus difficiles. A chaque fois je perds un peu plus d'énergie et d'espoir, mais je trouve un sursaut. Elle continue méthodiquement à les serrer, et je commence à être à bout de souffle, à bout de force… Je bouge déjà avec moins d'énergie, mes mouvements sont plus courts. D'une agitation déchainée, je suis passé à de faibles mouvement, toujours dans le bruit du latex, celui de mon soufle et de mes gémissements. Impitoyablement, elle continue à gagner un cran ici ou la. Moi, je sais que j'ai perdu cette partie-la.

"Oh tu abandonnes déjà ? Mmm, il faut dire que la, tu n'y peux plus grand chose. Dommage, tu ne t'es pas beaucoup battu… pas vraiment envie de te libérer peut-être, tu es bien la-dedans ?"

En réponse je gémis et bouges la tête pour lui dire que non. Elle parait déçue.

"Je prends tellement soin de toi, j'espèrais mieux ! Tu es un ingrat, tu mériterais une correction !" 

Elle me caresse la tête pour me calmer, me laisse le temps de reprendre mon souffle. Sa main gantée decend le long de ma poitrine, titille le bout de mes seins, tourne autour de mon sexe. Elle appuie un peu sur mon bas-ventre, mon entrejambe. Je commence à bander sous ses caresses, c'est une autre chaleur qui me vient ! Elle le voit, et sent mon sexe gonfler sous le cocon de latex.

"La, c'est bien, ça va mieux la ! Mmm, tu vas rester un bon moment la-dedans, tu vas voir que tu vas y prendre plaisir, mais chaque chose en son temps !"

En même temps qu'elle dit ça, elle me colle une petite tape sur le sexe. 

"Tu as chad, tu dois avoir soif ?"

Il y a un petit trou au travers mon baillon, dans lequel elle glisse un tuyau flexible, qu'elle branche sur une bouteille. Doucement, elle me fait boire en appuyant sur la bouteille. Elle s'assure que j'avale bien. Je suis tellement intoxiqué par le latex maintenant que j'ai l'impression que tout en a le gout, le parfum. Cette boisson un peu sucrée, tiède me désaltère à peine.

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"Bien, te voila restauré, je te propose un nouveau jeu, une nouvelle chance : si tu arrives à te redresse et à t'asseoir, alors je te libère de ta cagoule ! Avoues que je suis trop gentille. Allez, vas-y !"

Je me doutes bien qu'elle se moque de moi, mais que faire d'autre, alors… Les courroies serrées autour de mes jambes ne m'empèchent pas d'entamer un espèce de mouvement de balancier. Je lève un peu mes jambes, les laisse retomber en bandant mes abdos… pfff, mon torse ne se relève peut-être que d'une vingtaine de centimètres. J'insiste plusieurs fois, je gagne un peu de hauteur, à nouveau je commence à avoir très chaud et à transpirer. Je m'arrète un instant dans mon mouvement de balancier, le temps de reprendre mon soufle. A ce moment-le, elle plaque fortement ses deux mains gantées sur mon visage, je ne peux plus respirer du tout ! Je m'agite pour me dégager, au bout de trnte secondes peut-être, qui me paraissent des minutes tant je commence à m'angoisser, elle relève ses mains en riant.

"Oh excuses-moi mon chou, tu voulais reprendre ton souflle ? Vas-y, prends ton temps, moi j'ai tout le temps que je veux !"

En disant ça, elle monte à califourchon sur moi, acrroupie, face à moi. Je sens ses cuisses gainées de latex enserrer les miennes, son sexe est juste quelques centimètres plus bas que le mien, sur le haut de mes cuisses. Elle veut m'exciter mais surtout pas me donner de plaisir.

"Vas-y, je suis en selle, je suis prête !"

Maintenant je ne peux plus me servir de mes jambes, c'est péniblement que je me soulève de quelques centimètres. A chaque fois elle me repousse de la main. Vainement je me secoue et tente de la désarçonner, à chaque fois elle me serre un peu plus. Une fois de plus, je sens que je n'y arriverai pas, trempé, épuisé, la gorge en feu à force de respirer difficilement, je gémis et remue faiblement, m'agitant de frustration.

"Oh non, ce n'est pas déjà fini, allez remues !"

Elle se couche sur moi, ses deux coudes posés le long de mon corps. Séparés par à peine un millimètre de latex, nos corps sont maintenant plaqués l'un contre l'autre. Poussant de ses genoux, elle remonte légèrement pour que son sexe soit au niveau du mien. C'est d'excitation que je bouge maintenant. Elle plaque à nouveau ses mains sur ma bouche, me fait bander davantage, elle commence à gémir aussi, je mactive… et la elle relève légèrement son bassin. Excité et frustré, je m'agite en vain, mon sexe reste à quelques centimètres de son corps, et emprisonné comme je suis par cette femme sans pitié et ce cocon de latex, je n'arrive pas à l'atteindre.

"Mmm, tu es bien pressé, nous avons tout le temps !"

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Elle attrape quelque chose sur le bord du lit, qu'elle commence à passer sur ma tête. Dans la caméra, je ne vois pas tout d'abord ce que c'est. J'ai tout de suite la respiration presque coupée, et l'odeur de latex est toujours plus forte, si encore c'est possible. Je sens un zip se fermer derrière ma tête, des courroies qui se serrent. Maintenant je vois qu'elle a fixé un masque à gaz de latex noir brillant sur ma tête. M'emprisonnant toujours entre ses cuisses et ses coudes, elle joue à boucher quelques secondes de sa main gantée l'ouverture du masque, la où on branche la cartouche d'habitude. Elle s'amuse à guetter quand je vais reprendre mon souffle pour plaquer sa main sur l'orifice. A chaque fois je me débats.

"Calmes-toi, je ne veux pas ta peau… laisses-toi aller. Mmm, c'est ça. Ah, plus d'air, hihi !"

Elle branche maintenant sur le masque un sac de latex, par lequel elle me fait respirer l'air que je viens de souffler. Mais surtout, le sac est petit, les bouffées trop courtes provoquent tout de suite une angoisse chez moi, je me débats violemment, mais sans parvenir à la faire bouger d'un centimètre. Elle me donne quelques secondes de répit, le temps d'une inspiration et recommence. Je deviens fou, je m'agite de manière incohérente, je gémis. Sans me rendre compte comment ça vient, je commence à pleurer, agité de soubressauts. Elle arrête aussitôt, libérant ma respiration, elle caresse le haut de ma tête, mes joues, ma poitrine.

"Laaa, ça va. Calmes-toi, tout va bien, je veille sur toi il ne peut rien t'arriver de mal. Respires tranquillement, je te laisse retouver ton souflle et ton calme."

En même temps qu'elle me parle, ses caresses descendent le long de mon corps. D'abord apaisantes, elles se font sensuelles. Au bout d'un moment mon souflle recommence à s'accélérer, mais la, pour une autre raison ! A nouveau alors, elle arrête ses caresses. Elle se lève, retourne me chercher à boire. Tout est prévu avec ce masque à gaz, et elle passe un petit tuyau qui me permet d'aspirer quelques gorgées de boisson énergisante. J'ai transpiré énormément et j'ai très soif, d'autant plus que ce que je bois ne me désaltère pas beaucoup. Le tuyau est fin et je ne peux boire que lentement, ça me prend de longues minutes, pendant lesquelles je sens un peu ma vessie gonfler, de la prise de liquide précédente. Ensuite, elle ouvre un zip au niveau de mon sexe et le libère. Quand elle le prend en main, la sensation est beaucoup moins agréable que je pouvais l'espérer. Je suis dans une érection douloureuse, après tout ce temps emprisonné dans le latex, cette excitaton contrariée. Je gémis et me trémousse un peu, elle devine dans quel état je suis et ses gestes se font doux.

"Mmm, pauvre petite chose mise à rude épreuve… nous allons te ménager un peu. Enfin, pour l'instant !"

Elle passe une crème calmante sur ma queue, la douleur passe. Je la sens ensuite qui la glisse dans une sorte de fourreau. Elle s'écarte un peu du champ de la caméra pour que je puisse voir ce qu'elle a installé : mon sexe est dans un fourreau de latex relié à un tube de plastique assez large, qui va jusqu'à une poche transparente posée à côté du lit. Puis elle enfouit à nouveau ma queue équipée dans le sac de latex et referme le zip. A nouveau, plus un cm2 de ma peau n'est à l'air libre. Ouf, je n'y avais pas encore pensé mais je vois que je vais pouvoir pisser sans inonder l'intérieur du cocon de latex dans lequel je me trouve ! Je comprends aussi vite que je ne suis pas près d'être libéré pour aller aux toilettes. Pour finir, elle m'attache au lit par un réseau de cordes qui se croisent et me maintiennent fermement sur le dos.

 "Bien, tu vas te reposer un peu maintenant."
Après une dernière caresse, elle pince brièvement mes tétons, et je la vois s'éloigner en même temps que j'entends le bruit de ses talons sur le sol. Je ne sais pas si la caméra est coupée, ou la lumire éteinte, mais tout d'un coup il n'y a plus d'image devant mes yeux. Je suis dans le noir, mais ça m'étonnerait que je trouve facilement le sommeil, même si mon corps est très fatigué après ces efforts et ces sensations extrèmes. A chaque respiration j'entends le clapet du masque à gaz, au moindre mouvement les sons du latex de mon fourreau et de ma couche. Gorgé d'endorphines, excité par une angoisse montante, mon corps est stressé, surexcité. Ma vessie me fait mal subitement, et je suis si tendu que j'ai du mal à pisser. Je me concentre difficilement pour me détendre un peu, quelques gouttes finissent par couler, avec la sensation pénible au départ d'une sorte d'orgasme douloureux. Maintenant ma vessie se vide, je sens le liquide chaud qui coule. Soulagé, contre toute attente, je glisse maintenant dans un sommeil troublé.
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Commentaires
A
Ah, ça me fait plaisir qu'elles te plaisent ces histoires, j'y mets du cœur à les écrire ! Oui, il y en a d'autres qui partagent les mêmes fantasmes, c'est cool ! J'en ai d'autres en préparation, mais ça prend du temps :-)
S
Ouah que de belles histoires sur ce blog et en plus elles arrivent à en inspirer d'autre super<br /> <br /> merci à tous
A
Waooo, je suis heureux d'avoir inspiré ça ! Elle est vraiment sans pitié, vous avez de la chance d'aller si loin dans le plaisir !
E
Ma femme apres avoir vue ce récit me le fait subir mais elle agrémente ce suplice en tapissant l'intérieur des combinaisons d'orties .Hier elle a déssidée de oibérer mon sex je constate qu"elle me place deux anneaux de controle avc picots interne qu'elle me pose autour de ma verge et un troisieme entre mes testicules et ma verge ensuite elle me pose un preservatif en acier et enferme le tous dans une cage de chastete et reintegre le tous dans la combinaison .Ensuite elle place par dessus la combinaison un corset en cuir de buffle agrémenté d'une dvingt <br /> <br /> ene de baleine d'acieren suite elle me retournat sur le ventre ouvrit l'ouvrture au niveau de l'anus m'introduit un phalus en acier qui une foie en place s'ouvre comme une tulipe .ensuite elle plaçat une barre d'acier qu'elle fixat avec multitudes de sangles en suite elle accrochat la barre a une chaine de palant et me hissat a 2m de haut et sort de la piece en eteignant la lumiere l'alimentation arrive par le petit tuyaut un haut parleur diffusz qzs son type crissement d'une craie sur un tableaut
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